Après s’être intéressé à la vie
de Florence Nightingale, Les élèves ont
travaillé à la réalisation du coxcomb de l’orientation en seconde Sciences et
Patrimoine. Une séance a été consacrée aux calculs des différents rayons à
utiliser pour tracer ces arcs de cercle. Plusieurs hypothèses émises par les
élèves ont été testées pour vérifier la condition visée : « les surfaces doivent être
proportionnelles aux effectifs ». La méthode ayant été déterminée, les
élèves ont alors calculé ces rayons et construit leur coxcomb à partir des
données disponibles
2013-2014
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2014-2015
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2015-2016
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2016-2017
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L
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2
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2
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4
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?
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12
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6
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8
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?
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S
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10
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13
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7
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?
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Techno
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3
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3
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2
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Red + Bac pro
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4
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6
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3
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?
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Total
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31
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30
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24
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29
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Affiches crées en MPS par Rémy Eloise et Ingrid Turner ( programme Voltaire)
Florence Nightingale
Infirmière et mathématicienne
Florence Nightingale (Figure1), née le 12 mai 1820 à Florence, morte le 13 août à Londres. Elle est née de parents anglais et ils lui ont donné le nom de la ville ou ils étaient pendant leur tour d’Europe. Elle a eu une soeur nommé Parthénope. Pendant sa jeunesse elle a habité dans Derbyshire et Hampshire, en Angleterre, avec sa famille. Au début c’était leur gouvernante qui était leur professeur, et ensuite leur père William Edward Nightingale, qui a étudié à Cambridge, est devenu leur instituteur. Florence a adoré ses leçons et elle pouvait faire des études. Son père lui a fait connaitre les classiques, Aristote, la politique et la Bible. En 1840 Florence a demandé de ses parents pour faire des études de mathématiques. Mais sa mère n’a pas approuvé. Elle a dit que Florence devait étudier des matières plus appropriées pour une femme. Après beaucoup de discussions, ses parents ont donné leur permission et lui ont permis d’être instruite en mathématiques. Un de ses tuteurs était Sylvester un mathématicien célèbre. La religion a joué un rôle important dans la vie de Nightingale parce qu’elle avait une opinion impartiale et c’était inhabituel pour son temps.
Nightingale a développé un intérêt pour les questions sociales de l'époque, mais en 1845 sa famille est fermement apposée à son envie de travailler à l'hôpital. Au milieu du dix-neuvième siècle les soins infirmiers n'étaient pas considérés comme une profession adaptée pour une femme bien éduquée. Les infirmières et infirmiers de l'époque n’avaient pas une bonne image.
Alors que Nightingale était en train de faire le tour de l'Europe et de l’Egypte à partir de 1849, elle a eu la chance d'étudier les différents systèmes de l'hôpital. Au début de 1850 Nightingale a commencé sa formation d'infirmière à l'Institut de St Vincent de Paul à Alexandrie en Egypte. De retour à Londres en 1853, Nightingale a pris un poste non rémunéré comme surintendante à l'établissement Gentlewomen.
En Mars c’est le début de la guerre de Crimée, qui oppose la Grande-Bretagne, la France et la Turquie à la Russie. Bien que les Russes ont été battus le 20 septembre 1854, la situation médicale des anglais n’étaient toujours pas bonnes. Nightingale écrit à un ami qui était un secrétaire de guerre, pour devenir une administratrice des soins infirmiers pour superviser l'instruction des infirmières d'hôpitaux militaires. Son titre officiel était Surintendante des Infirmières.
Elle a eu la persévérance et le courage. Pendant son temps à hôpital, les soldats blessés étaient 7 fois plus susceptibles de mourir d'une maladie à l'hôpital que sur le champ de bataille. La connaissance des mathématiques de Nightingale est devenue évidente lorsqu'elle a utilisé ses données recueillies pour calculer le taux de mortalité à l'hôpital. Ces calculs ont montré qu'une amélioration des méthodes sanitaires employées entraînerait une diminution du nombre de décès. Nightingale a utilisé ces données statistiques pour créer son diagramme de zone polaire, ou «coxcombs» comme elle les appelait. Ceux-ci ont été utilisés pour donner une représentation graphique des chiffres de mortalité pendant la guerre de Crimée (1854 - 56) (Figure 2). Les differents zones de couleur représentent les causes de décés selon 3 types. La surface est proportionnelle au nombre de décés. À son retour à Londres en août 1856, Nightingale a découvert que les soldats en temps de paix, âgés de 20 à 35 ans, avaient deux fois plus de mortalité que les civils. À l'aide de ses statistiques, elle a illustré la nécessité d'une réforme sanitaire dans tous les hôpitaux militaires. Elle a attiré l’attention de la famille royale et en 1858, Nightingale devint la première femme à être élue membre de la Royal Statistical Society. Pendant la plus grande partie du reste de sa vie, Nightingale a été paralysée à cause d’ une maladie contractée en Crimée, ce qui l'a empêchée de poursuivre son propre travail d'infirmière. Cette maladie ne l'a pas empêchée, cependant, de faire campagne pour améliorer les normes de santé; Elle a publié 200 livres, rapports et brochures. Nightingale est décédé le 13 août 1910 à l'âge de 90 ans. Nightingale ne s'est jamais marié, même si ce n'était pas par manque d'occasion. Elle croyait, cependant, que Dieu avait décidé qu'elle était celle qu'il « avait clairement marqué ... pour être une femme célibataire. »
Ingrid Turner, élève allemande d'origine anglaise issue du programme Voltaire.
Florence Nightingale nait en 1820 à Florence.
Ses parents sont des britanniques engagés dans la politique. Dès son plus jeune
âge elle va dans les rues avec sa mère et sa sœur pour aider les mendiants.
Grâce à son père elle ne reçoit pas une éducation classique ce qui lui permet
d’apprendre plusieurs langues l’Anglais, le Français, l’Allemand,
l’Italien, le Latin et le Grec. Elle a des troubles mentaux qui lui font
entendre des voix ce qu’on qualifierait aujourd’hui de Schizophrénie.
En 1837 : elle
dit avoir reçu un appel de dieu, qui la conduit à aimer le métier d’infirmière.
Ce qui a l’époque était mal vu à cause de son rang social.
En 1844 :
elle annonce à ses parents qu’elle veut être infirmière et créer un hôpital.
Ils s’y opposent jusqu’en 1852 où ils lui donneront une grosse pension.
Sa première vraie
formation se passe à l’hôpital de Kaiserswerth en 1851.
De 1854 à 1856 Elle
est directrice des soins infirmiers à l’hôpital de Scutari en Turquie. Pendant
ce laps de temps elle réussit à faire baisser le taux de mortalité de 40 à 2 %.
Et ça, seulement en améliorant les conditions d’hygiène.
C’est lors de la guerre de Crimée qu’elle
hérita du surnom « la dame à la lampe ». Surnom que les soldats lui
ont donné du fait que la nuit elle allait faire sa ronde avec une lampe à
pétrole.
Florence
Nightingale contribua à obtenir la création, en 1857, de la Commission royale, présidée
par Sidney Herbert et composée en
majorité de partisans de ses théories. Elle commença à rassembler des preuves
de la mauvaise gestion des hôpitaux et à réunir des statistiques sur la
mortalité (ce sont ces statistiques relatives à la campagne de Crimée qui lui valurent
d’être la première femme élue membre de la Société royale de statistiques en
1860).
Florence
Nightingale élabora des plans d’enseignement de la médecine militaire dans ses « notes
on matters affecting the health,
efficiency and hospital administration of the British army » qui furent
imprimées à titre privé, en 1858. La finalité de cette formation s’ancrait manifestement
dans les enseignements du récent conflit.
Du fait d’une
maladie attrapée lors de la guerre de Crimée, elle est mise sous quarantaine et
écrit plus de 200 livres. Puis elle meurt en 1910.
MarieThibaudet.Seconde 6
Son
Enfance :
Florence Nightingale est née le
12 mai 1820 à Florence en Italie et morte le 13 août 1910 âgée de quatre vingt
dix ans vers Londres. Ses parents sont britanniques et riches et sont engagés
dans la politique. Florence est très généreuse et agit pour donner de l'argent
aux pauvres elle se disputaient régulièrement à ce sujet avec sa mère et sa
sœur. Son père l'encouragea et elle put apprendre grâce à lui le français,
l'allemand, l'italien, le latin et le grec qu'elle parlait couramment. Elle
s'initia ensuite à la philosophie, à l'histoire et aux mathématiques.
En février 1837, alors qu’elle
était âgée de 16 ans, elle dit avoir reçu un appel de Dieu l’incitant à
s’engager au service de ses semblables. Elle voulut alors devenir infirmière,
au grand désespoir de ses parents qui considéraient cette occupation comme de
la compassion envers des classes sociales défavorisées (donc non recommandable
pour une femme de sa classe sociale.).
Son
Engagement :
De 1854 à 1856, lors de la Guerre de Crimée, Florence
va changé les sciences infirmières . Dans les hôpitaux, il y avait alors
davantage de décès causés par la maladie que par la guerre. En effet les
conditions dans les '' hôpitaux'' étaient vraiment affreuses. Florence
Nightingale, devenue directrice des soins infirmiers dans un hôpital en
Turquie, fut choquée de ce manque évident d’hygiène et s’affaira à améliorer la
condition des soldats blessés. Dix-huit mois après son arrivée, elle réussit à
faire passer le taux de mortalité de 40 à 2 %, notamment en améliorant les
conditions d’hygiène. Elle demanda alors au gouvernement, dans un énorme
dossier, de réagir. Elle réussit à les convaincre notamment par son célèbre
diagramme circulaire. Répondant à sa demande, le gouvernement britannique
envoya en mars 1855 une Commission sanitaire qui fit nettoyer les égouts et
améliora la ventilation.
Lors de cette Guerre de Crimée, Florence était
surnommée « La Dame à la Lampe». En effet, munie d’une lampe à pétrole, elle
avait l’habitude, la nuit, de faire sa ronde auprès des soldats blessés.
Florence est passionnée par les mathématiques mais
surtout par les statistiques. Soutenue par le Dr William Farr, statisticien
médical, Florence mit au point une version améliorée des diagrammes
circulaires, équivalant aux histogrammes circulaires de maintenant. Ils sont
malheureusement appelés coxcombs (tête de coq)
sa
mort :
À partir de 1857, Florence
souffrit d’une fièvre importante qu'elle eut durant Guerre de Crimée. Elle fut
alors confinée à sa chambre à son lit, et souffrit de dépression. Complètement
alitée en 1896, elle mourut en 1910
Les blessés pourront remercier cette femme car elle
aura véritablement révolutionné les conditions de vie dans les hôpitaux au 19°
siècle. De plus elle marquera l'Histoire car on utilise encore aujourd'hui ses
fameux diagrammes circulaires.
sources :
Florence
Nightingale
urnommée
la « dame à la lampe », Florence Nightingale est née à Florence dans
la villa de Colombia (Italie) le 12 mai 1820 et est morte le 13 août 1910 à
Londres (Angleterre).
Sa vie
d’infirmière passionnée:
Tout au long de sa vie elle fut une
infirmière britannique dévouée. En effet, alors qu’elle n’avait que 16 ans elle
dit avoir reçu un appel de Dieu lui
disant de s’engager au service des autres. C’est pour cela qu’elle devint
infirmière au détriment de la volonté de ses parents. Quelques années plus tard
Florence devint
l’une des personnes s’y connaissant le plus dans le domaine hospitalier, qu’il
s’agisse de construction d’hôpitaux ou de soins à y dispenser.
De
1854 à 1856, lors de la Guerre de Crimée, Florence Nightingale, devenue
directrice des soins infirmiers au Scutari Hospital, en Turquie, à amélioré la
condition des soldats blessés. Dix-huit mois après son arrivée, elle a
contribué à la réduction du taux de mortalité (en partie causé par les maladies
plus que par la guerre). Ainsi le taux de mortalité est passé de 40 à 2 %,
notamment en améliorant les conditions d’hygiène des soldats.
En
1857, Florence, aux côtés de Lord Panmure, le ministre de la Guerre, ont lutté
pour que soit instaurée une Commission royale visant à investiguer le taux de
mortalité dans l’armée en temps de paix et en temps de guerre. Mise sur pied en
1858, cette Commission a produit un rapport de plus de 1000 pages qui
transforma le système de santé britannique.
En 1860, sur la base de ses expériences
pendant la Guerre de Crimée, grâce aux fonds récoltés lors de la souscription
de reconnaissance à son égard, elle créa une école d’infirmières.
Sa vie
autour des mathématiques:
De nos jours,
Florence Nightingale est décrite comme une des pionnières des statistiques. Dès
son plus jeune âge, Nightingale se révèle particulièrement douée pour les
mathématiques et y excelle grâce aux enseignements de son père. Elle
s'intéresse notamment à la statistique,
un domaine dans lequel son père, un des pionniers de l'épidémiologie (=Science qui étudie la fréquence et la répartition des
problèmes de santé dans le temps et dans l'espace, ainsi que le rôle des
facteurs qui les déterminent), est un expert. Elle a fréquemment recours aux
analyses statistiques dans ses compilations, analyses et présentations de
données sur les soins médicaux et la santé publique.
Nightingale est une pionnière de la
présentation visuelle de l'information. Elle utilise entre autres les diagrammes circulaires, développés par William Playfair en 1801.
Après
la Guerre de Crimée,
elle se met à utiliser une version améliorée de ces diagrammes (équivalant
aux histogrammes circulaires
d'aujourd'hui), afin d'illustrer les causes saisonnières de mortalité des
patients de l'hôpital militaire qu'elle gère. Nightingale appelait
« coxcomb » (crête de coq) une compilation de tels diagrammes, mais
par la suite le terme est souvent utilisé pour désigner un diagramme
individuel. Elle utilise fréquemment les coxcombs pour présenter des
rapports sur la nature et l'ampleur des conditions des soins médicaux pendant
la Guerre de Crimée aux membres du Parlement et aux fonctionnaires, qui
n'auraient probablement pas pu lire ou comprendre des rapports statistiques
traditionnels.
Par la suite, Nightingale réalise une étude statistique
complète du système sanitaire dans les campagnes indiennes et est la figure
majeure de l'amélioration des soins médicaux et des services publics de santé
en Inde.
En 1858, elle fut la première femme à être élue
membre de la Royal Statistical Society, et devient par la suite membre
honoraire de l'American Statistical Association.
Florence Nightingale a
actuellement un musée (à Londres) ainsi qu’un institut en soins infirmier (en
France, à Talence) à son nom.
Joureau Ambre
Florence Nightingale est née le 12 mai 1820 à Florence, morte
à Londres le 13 aout 1910.
C’est une infirmière Britannique qui fut très importante dans
l’évolution des soins infirmiers dans son époque. Fille d’une famille riche originaire
de l’Angleterre, sa famille est une famille généreuse, elle finance des soins
pour les personnes ayant des besoins concernant la santé. Une épidémie de
grippe arrive en Angleterre en 1837, Florence parvient à ne pas l’attraper et
alors elle s’occupe de sa famille, et de voir tant de personnes dans le besoin
de soins et qui ne parviennent pas tous à en avoir, elle décide alors de
devenir infirmière. Ses parents sont en désaccord. Le 7 février 1837 elle écrit
dans son journal : « Dieu m’a parlé et m’a appelée à son
service ».
Florence et les
soins infirmiers
En 1844 elle rencontre le médecin Américain Samuel Gridley
Howel et son épouse Julia Ward, elle demande alors si elle qui est issue d’une
haute société puisse être infirmière, et il lui répond alors que même si cela
est inhabituel, si c’est ce qu’elle désire il faut qu’elle le fasse.
En décembre 1844 elle
devient militante pour l’amélioration des soins médicaux au sein des
infirmeries anglaises. En 1851 pendant un voyage en Allemagne dans la ville de
Kaiserswerth elle est alors étonnée par la qualité des soins donnés par
l’hôpital de la ville, elle va donc faire un stage de trois mois dans cet
établissement pour apprendre les techniques du métier d’infirmière.
Un peu plus tard dans
cette année, elle publie son tout premier livre : The Institution of
Kaiserswerth on the Rhine, for the Practical Training of Deaconesses. Ses
parents acceptent enfin pleinement son projet professionnel en 1852. Le 22 aout
1853 prend le poste de surintendante a l’institut pour les soins aux dames
malades situé dans la ville de Londres, elle n’est pas payée avec ce métier,
elle vit avec la pension que lui donne son père tous les ans. Dans cet institut
Florence est bien réputée et elle y introduit des pratiques qu’elle trouve
nécessaire.
La guerre de Crimée
et ce qui s’en suit
Lors de la guerre e
Crimée en 1853 Florence et une quarantaine d’infirmières vont alors aller
auprès des soldats. Le constat de Florence est alors sans appel, le manque
d’infirmiers, l’état des lieux, manque de médicaments, ne peuvent donc
entrainer que la mort des soldats. Une fois que les soins sont réorganisés, des
ventilations mises en places et les égouts nettoyés, après cela, la mortalité
baisse fortement, à son retour en Angleterre en 1857 Florence est considérée
comme une héroïne. A son retour de la Guerre de Crimée Florence souffre de
dépression a cause de ce qu’elle a pu voir auprès des soldats blessés.
Florence rédige un
rapport de plus de 1000 pages qui contient des données statistiques très
détaillées accompagné d’un graphique qui est a l’heure d’aujourd’hui connu
d’une bonne partie de la population, un graphique en « coxcomb ».
Grace à ce rapport les soins aux soldats se sont fortement améliorés et une
école de médecins militaires s’est mise en place et il y a aussi un vaste
système d’archives médicales de l’armée qui fut instauré.
En 1859 Le Fond Nightingale lui donne 45000 livres avec cet
argent elle crée au st Thomas’ Hopital la Nightingale Training School qui est
une école de formation aux infirmières et sages femmes.
En 1860 Florence publie un livre s’intitulant « Notes on
Nursing » qui connait un grand succès auprès de la majeure partie des
gens.
Cette femme a marqué le milieu des soins et a donc pu inspirer
la médaille « Florence Nightingale » à La Croix Rouge, qui la donne
en son honneur depuis 1912.
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